Depuis quelques années, l’archipel portugais, situé au large du Maroc, recense et crée des zones de protection, en multipliant les réglementations
Malgré les mesures en cours, une multitude de facteurs peuvent constituer une menace pour la géo-diversité. Comme par exemple l’action érosive des agents naturels, tel que le boisement (qui se fait inadéquatement), ou encore, l’usure au sol (l’exploitation illégale des ressources géologiques), mais aussi, l’impact de la population.
Conscient de cette situation, le gouvernement préserve ces lieux pour les générations présentes et futures, en les classifiant selon les dégradations, et en développant les infrastructures pour accueillir les visiteurs.
Ainsi, un parc écologique a vu le jour au nord de Funchal. Avec plus de 1000 hectares, le site permet d’étudier la géomorphologie et la biologie. En plus de cela, un projet de reforestation est en cours pour retrouver les espèces natives.
Tolérance zéro au niveau de la pollution de la mer
À cause des rejets illicites dans les zones de baignade, la préoccupation se tourne actuellement sur la tolérance zéro au niveau de la pollution de la mer.
Les actions s’étalent sur plusieurs points, allant de la sensibilisation, à l’éducation environnementale auprès du public, en faisant des séances de formation techniques auprès des professionnels, mais aussi des étudiants afin de faire connaître les pratiques de l’assainissement.
De plus, le gouvernement souhaite organiser chaque année une journée dédiée à la collecte des ordures de la mer, et également une conférence régionale pour faire le point sur la pollution de la mer.
En signant le protocole d’accord MOU (Memorandum Of Understanding) – Global Climate Leadership, à New York, Madère va coordonner tous les efforts visant à réduire de 80 à 95% ses émissions de dioxyde de carbone d’ici 2050.